Nos services
Un service de qualité pour répondre aux enjeux environnementaux
La production et la consommation alimentaire génèrent des matières organiques qui représentent un défi de traitement pour la société. En effet, les sous-produits de l’agriculture, les co-produits des entreprises alimentaires, sont autant de matières organiques à traiter dans le respect de la qualité des sols, des eaux et de l’air.
Il s’agit d’une ressource renouvelable exploitable, que AgriMéthaBresse sait valoriser. Le processus naturel de méthanisation permet de transformer ces matières en Biogaz et en engrais et ainsi de répondre à une multitude d’enjeux qui nous concernent tous.
Répondre aux enjeux environnementaux et économiques
Notre méthaniseur recycle les effluents d’élevages et sous-produits organiques
Cultures intermédiaires – les sous-produits ont aussi un coût
• Les cultures intermédiaires (entre 2 cultures alimentaires) permettent de maintenir un couvert végétal pendant l’hiver pour réduire l’érosion et le ruissellement des nitrates. Elles sont ensuite détruites pour semer la culture suivante. Elles sont un coût pour l’agriculteur mais aussi un stock de matières et d’énergie peu valorisé.
• Les effluents d’élevages (fumiers, lisiers) occasionnent des coûts de traitement importants pour les agriculteurs (normes et stockage).
Alimentation de la population : des résidus organiques à valoriser
• les entreprises alimentaires sont sources importantes de matières organiques qui viennent de la production Elles ne sont pas ou peu valorisées localement et représentent un coût croissant pour les contribuables.
Valoriser les matières organiques locales
Les matières que nous valorisons représentent un total de 26 000 tonnes par an. Elles proviennent principalement du lisier et fumier d’élevage, des cultures intermédiaires, et des sous-produits de la production alimentaire.
Fumiers et lisiers
Cultures intermédiaires
Maïs dérobé et issus de céréales
Sous-produits alimentaires
Nous nous sommes engagés à ce que 95% des matières proviennent d’un rayon inférieur à 3 km pour réduire les émissions de CO2 liées au transport des matières.